• Vendredi Saint ou maudit ? partie 2

    Vendredi Saint ou maudit ? partie 2

     

    Site: www.radicalreformation.over-blog.com

     

    Sauf précision, tous les passages tirés des Saintes Écritures sont extraits de la Version Ostervald révisée édition de 1996.

     

    La Résurrection de  YESHOUA HA MASHIAH est l’un des aspects centraux du message diffusé par les apôtres et l’église apostolique du premier siècle. Aujourd’hui encore, il s’agit du thème central autour duquel s’articule la foi chrétienne.

     

    Le but de cet essai est de reconsidérer les différentes façons dont la résurrection du MASHIAH est évoquée par les auteurs des écrits du Nouveau Testament.

     

    La résurrection de YESHOUA est l’accomplissement du signe miraculeux que MASHIAH avait promis à ses détracteurs.

     

    « Alors quelques-uns des scribes et des pharisiens lui dirent: Maître, nous voudrions te voir faire quelque miracle. Mais lui, répondant, leur dit: Une race méchante et adultère demande un miracle; mais il ne lui en sera accordé aucun autre que celui du prophète Jonas. Car comme Jonas fut dans le ventre d'un grand poisson trois jours et trois nuits, ainsi le Fils de l'homme sera dans le sein de la terre trois jours et trois nuits » (Matthieu 12:38-40).

     

    Paul parle de la mort de YESHOUA, de son enterrement et de sa résurrection comme étant un résumé de l’espérance et du salut que nous avons en MASHIAH (1 Corinthiens 15:2-3). La condition sine qua non à un pardon effectif des péchés de ceux que qui ont crus en MASHIAH dépend de la résurrection effective de Jésus (1 Corinthiens 15:15-16).   

     

    Par sa résurrection, YESHOUA atteste qu’il est bien le Messie de YHWH tant attendu :

     

    « YHWH a ressuscité ce Yeshoua; nous en sommes tous témoins […] Que toute la maison d'Israël sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et MASHIAH ce YESHOUA que vous avez crucifié » (Actes 2 : 32, 36).

     

    Paul nous écrit que YESHOUA HA MASHIAH a été « selon l'esprit de sainteté, déclaré Fils de YHWH avec puissance, par sa résurrection des morts » (Romains 1:4)

     

    Les chrétiens affirment leur croyance en la résurrection au travers de l’ordonnance du baptême. Paul nous écrit que le baptême, signifiant un renouveau spirituel, est une participation symbolique à la mort, à l’enterrement et à la résurrection de Christ (Romains 6:3-4)

     

    Enfin, la résurrection de YESHOUA nourrit l’espoir des chrétiens en une résurrection des morts à sa seconde venue :

     

    « Mais maintenant, MASHIAH est ressuscité, et il est devenu les prémices de ceux qui sont morts […] Car, comme tous meurent en Adam, de même tous revivront en MASHIAH; Mais chacun en son propre rang; MASHIAH est les prémices, ensuite ceux qui sont de MASHIAH, à son avènement »  (1 Corinthiens 15:20, 22-23). 

     

    Sauf précision, tous les passages tirés des Saintes Écritures sont extraits de la Version Ostervald révisée édition de 1996.

     

    Rappelle: YESHOUA HA MASHIAH ( jésus christ)

    Dieu = YHWH

    Le texte étant très long , je rétablie en amont le nom du Seigneur et de son Dieu.

    la Nouvelle et l'Ancienne alliance par Ancien et Nouveau testament,vu que le testataire est ressuscité !

     

    La Résurrection de  Yeshoua est l’un des aspects centraux du message diffusé par les apôtres et l’église apostolique du premier siècle. Aujourd’hui encore, il s’agit du thème central autour duquel s’articule la foi chrétienne.

     

    Le but de cet essai est de reconsidérer les différentes façons dont la résurrection de Mashiah est évoquée par les auteurs des écrits du Nouveau Testament.

     

    La résurrection de Yeshoua est l’accomplissement du signe miraculeux qu'il avait promis à ses détracteurs.

     

    « Alors quelques-uns des scribes et des pharisiens lui dirent: Maître, nous voudrions te voir faire quelque miracle. Mais lui, répondant, leur dit: Une race méchante et adultère demande un miracle; mais il ne lui en sera accordé aucun autre que celui du prophète Jonas. Car comme Jonas fut dans le ventre d'un grand poisson trois jours et trois nuits, ainsi le Fils de l'homme sera dans le sein de la terre trois jours et trois nuits » (Matthieu 12:38-40).

     

    Paul parle de la mort de Yeshoua, de son enterrement et de sa résurrection comme étant un résumé de l’espérance et du salut que nous avons en Mashiah (1 Corinthiens 15:2-3). La condition sine qua non à un pardon effectif des péchés de ceux que qui ont crus en Mashiah dépend de la résurrection effective de Yeshoua (1 Corinthiens 15:15-16).   

     

    Par sa résurrection, Yeshoua atteste qu’il est bien le Messie de YHWH tant attendu :

     

    « YHWH a ressuscité ceYeshoua; nous en sommes tous témoins […] Que toute la maison d'Israël sache donc avec certitude que YHWH a fait Seigneur et Mashiah ceYeshoua que vous avez crucifié » (Actes 2 : 32, 36).

     

    Paul nous écrit que Yeshoua a été « selon l'esprit de sainteté, déclaré Fils de YHWH avec puissance, par sa résurrection des morts » (Romains 1:4)

     

    Les chrétiens affirment leur croyance en la résurrection au travers de l’ordonnance du baptême. Paul nous écrit que le baptême, signifiant un renouveau spirituel, est une participation symbolique à la mort, à l’enterrement et à la résurrection de MASHIAH (Romains 6:3-4)

     

    Enfin, la résurrection de Yeshoua nourrit l’espoir des chrétiens en une résurrection des morts à sa seconde venue :

     

    « Mais maintenant, Mashiah est ressuscité, et il est devenu les prémices de ceux qui sont morts […] Car, comme tous meurent en Adam, de même tous revivront en Mashiah; Mais chacun en son propre rang; Christ est les prémices, ensuite ceux qui sont de Mashiah, à son avènement »  (1 Corinthiens 15:20, 22-23).

     

    Tout chrétien croit en la résurrection de Mashiah. Cette joyeuse espérance qui nous a été donnée doit être prêchée parmi toutes les nations. Cette résurrection est la preuve de la validité de notre espérance en la vie éternelle !

     

    Cependant, et aussi magnifique et glorieuse que soit cette résurrection, il y a certaines raisons qui justifient que l’on ne prenne pas part à la Pâques dite « chrétienne ». Bien que la grande majorité des chrétiens observe cette célébration, il y a de bonnes raisons d’en discuter les fondements et la pratique. Aussi ancienne que soit la tradition de la Pâques « chrétienne », et malgré qu’elle soit très largement fêtée dans la majorité des églises se proclamant chrétiennes, certains aspects de cette fête mérite qu’on s’y arrête et qu’on s’y penche de plus près.

     

    Pourquoi ne pas observer la Pâques « chrétienne » ?

     

    Si nous croyons fermement en la résurrection de Mashiah, qu’elles sont donc les raisons qui nous pousseraient à ne pas observer cette commémoration ?

     

    Parmi les plus sérieuses raisons pour ne pas prendre part à cette célébration, les suivantes peuvent être avancées :

     

    La première raison : le syncrétisme

     

    La première objection que l’on peut faire à la célébration de la Pâques « chrétienne » est l’incorporation à celle-ci de pratiques issues du paganisme. Le syncrétisme, c'est-à-dire le mélange de pratiques et traditions chrétiennes et païennes est fermement condamnées par les Saintes Ecritures.

     

    De nombreuses sources sérieuses, encyclopédiques ou chrétiennes, mettent clairement en évidence les emprunts faits à des pratiques païennes antérieures à la naissance de Christ.

     

    On peut citer par exemple les références suivantes :

     

    « Le nom d’Easter (à noter qu’en anglais on désigne la Pâques « chrétienne » sous le terme d’Easter. Note du Traducteur) dérive du nom de la déesse païenne anglo-saxonne de l’aube et du printemps : Eostra ou encore Eostre, et les rituels de la Pâques chrétienne perpétue l’adoration au soleil levant et le triomphe du printemps sur l’hiver. Les sermons chrétiens et la liturgie se sont facilement adapté à cette ancienne fête païenne pour célébrer l’ascension du Fils au ciel »  (traduit d’après le Dictionary of the Middle Ages, 1985 ed., Vol. 5, page 36, Feast and Festivals, European).

     

    « Easter (la Pâques « chrétienne »), est une fête observée chaque année au travers du monde chrétien en commémoration de la résurrection du Seigneur Jésus Christ. Le mot Easter – anglo-saxon, Eostre, Eoster ; allemand, Ostern - comme les jours de la semaine (ici sous leur forme anglaise. Note du Traducteur), est une survivance de la mythologie germanique. Selon, Bede, le terme dérive de la déesse anglo-saxonne du printemps, à qui le quatrième mois, avril, est dédié.

     

    Il n’y a nulle trace de célébration de la Pâques « chrétienne » comme fête chrétienne dans la nouvelle alliance (le Nouveau Testament) ou dans les écrits des pères apostoliques […] l’historien ecclésiastique Socrate le Scolastique […] affirme, en ayant parfaitement raison, que ni Mashiah, ni ses apôtres n’ont demandé que cette fête ou n’importe quelle autre festivité de même sorte ne soit pratiquée. « Les apôtres », écrit-il, « n’avait pas à l’esprit la promulgation de jours de festivités quelconques, mais cherchait plutôt à promouvoir une vie pieuse et irréprochable ». (traduit d’après l’Encyclopedia Britannica, 1898 ed., Vol VII, pages 613, 614).

     

    Les sources et compte-rendu historiques attestent que des festivités printanières en l’honneur de déesses païennes et des événements associés à ces déesses étaient célébrées dans tout le monde antique à cette même période de l’année où l’on célèbre de nos jours la Pâques « chrétienne ». En l’an 399 de l’ère chrétienne, le Codex Theodosianus, promulgué par l’empereur romain Théodose II, tenta d’édulcorer ces festivités (de même que pour celles de Noël) toutes connotations païennes. Le peuple continua donc a célébré des festivités printanières en l’honneur de déesses païennes (Isis dans l’Empire Romain), simplement, il le fit sous un autre nom : Pâques. Dans son livre « Roman Time : the Codex-Calendar of 345 A.D. », l’auteur, Michèle Renée Salzman, affirme que de nombreux rites associés avec la déesse Isis perdurent dans la célébration chrétienne de Pâques.

     

    Les traditions populaires de la Pâques « chrétienne » ont des origines païennes. Considérons à ce titre les traditions des œufs et des lapins de Pâques.

     

    Les Œufs de Pâques :

     

    L’œuf de Pâques est le sujet de nombreuses histoires et traditions et est devenu un des symboles les plus populaires de Pâques.

    Quasiment toutes les cultures de l’Antiquité révéraient l’œuf d’une façon ou d’une autre. L’œuf symbolise à la fois la création et la fertilité. Dans de nombreux mythes anciens, l’œuf est crédité pour avoir donné naissance à des dieux ou à des déesses. Il était utilisé comme une amulette pour éloigner les mauvais esprits et apporter la bonne fortune. Dans le même temps que l’influence de l’Eglise Romaine s’étendait, les peuples ont accepté cette forme de christianisme, tout en conservant nombreuses de leurs superstitions. Comme l’œuf ne pouvait plus être utilisé en rapport avec leurs anciennes coutumes païennes, les peuples christianisés ont inventé de nouveaux mythes « christianisés » ayant comme aspect commun l’œuf. (Venetia Newall, An Egg at Easter, Indiana University Press, Bloomington, Indiana, 1971.)

     

    Dès le 4e siècle, on peut trouver des témoignages attestant de la bénédiction d’œufs de Pâques dans l’Eglise Romaine. De nos jours encore, de nombreuses personnes voient l’œuf de Pâques comme un symbole de la tombe de laquelle YESHOUA est ressuscité, mais également comme le symbole d’une nouvelle vie en Mashiah.

     

    La tradition germanique, qui consiste au printemps à faire rouler des œufs durs peints et décorés du haut d’une colline, est alors devenue le symbole de la pierre roulée du tombeau vaincu par la résurrection de Mashiah. (Venetia Newall, An Egg at Easter, Indiana University Press, Bloomington, Indiana, 1971.)

     

    « Les œufs et les lapins sont des symboles familiers sans rapport avec la Pâques en tant que telle. Les œufs, qui représentent la naissance d’une nouvelle vie, ont été un symbole du printemps depuis des temps très anciens. Les chrétiens ont adopté ce symbole de l’œuf pour le rapport qui existait entre la Pâques et le renouveau de la vie au mois d’avril » (traduit d’après The World Book Encyclopedia, Vol. 6, 2001 ed., pages 42,43,Easter).

     

    Le Lapin de Pâques :

     

    « Le lièvre et l’œuf sont tous les deux supposés avoir été des symboles de la déesse anglo-saxonne Eostre. En tant que tels, ils étaient des symboles emblématiques de la fertilité » (traduit d’après Robert J. Meyers, Celebrations : The Complete Book of American Holidays, Double & Company Inc., Garden City, NY, 1972, page 109).

     

    « Les lapins sont associés avec la fertilité du printemps pour leur capacité à produire une nombreuse progéniture. Certains parents vont jusqu'à raconter à leurs enfants que c’est le lapin de Pâques qui apporte les œufs de Pâques » (traduit d’après The World Book Encyclopedia).

     

    La Pâques dite  « chrétienne » est une fête encombrée de syncrétisme. De nombreuses coutumes d’origine païenne y sont combinées à des éléments de la Foi chrétienne. Lisons ce que Paul nous enseigne à ce sujet :

     

    « Non; mais que ce que les Gentils sacrifient, ils le sacrifient à des démons, et non à Dieu. Or, je ne veux pas que vous ayez communion avec les démons. Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons; vous ne pouvez participer à la table du Seigneur, et à la table des démons » (1 Corinthiens 10:20-21).

     

    L’observation suivante est faite dans la Bible au sujet de cette partie du peuple d’Israël que le roi d’Assyrie réinstalla en Samarie :

     

    « Ainsi ils craignaient l'Éternel, et ils servaient en même temps leurs dieux, à la manière des nations d'où on les avait transportés […] Car l'Éternel traita alliance avec eux, et leur donna ce commandement: Vous ne craindrez point d'autres dieux; vous ne vous prosternerez point devant eux; vous ne les servirez point, et vous ne leur sacrifierez point. Mais vous craindrez l'Éternel qui vous a fait monter hors du pays d'Égypte par une grande force et à bras étendu. C'est devant lui que vous vous prosternerez; c'est à lui que vous sacrifierez » (2Rois 17:33, 35-36).

     

    Le syncrétisme est formellement interdit dans la Bible. Elohim a toujours souhaité que son peuple lui reste fidèle. Il n’y a qu’un seul Elohim et les croyants fidèles ne peuvent adorer d’autres dieux que Yahvé (Exode 20:3).

     

    Les instructions de YHWH données à Moshé, alors que le peuple d’Israël était toujours en chemin vers la Terre Promise, démontrent avec quel sérieux Dieu considérait le syncrétisme. Les Israélites étaient instruits de ne pas même faire de traités avec les habitants du pays dont ils allaient prendre possession. Ils devaient détruire les autels païens, briser les poteaux sacrés et anéantir tout symbole de la déesse Asherah (Exode 34:12-13).

     

    Ils avaient à prendre l’initiative d’éliminer tout trace d’idolâtrie et de paganisme de la terre qui leur était promise ; L’injonction finale étant : « Car tu ne te prosterneras point devant un autre dieu, parce que l'Éternel se nomme le Dieu jaloux; c'est un Dieu jaloux » (Exode 34:14).

     

    Au travers du prophète Jérémie, Israël a été instruit de la façon suivante : « Ainsi a dit l'Éternel: N'apprenez pas les façons de faire des nations » (Jérémie 10:2). Il s’agissait d’un avertissement recommandant à Israël de ne pas adopter les coutumes des cultes païens, de ne pas s’inspirer de la façon dont les païens adoraient leurs dieux et de ne pas diluer le culte véritable du seul vrai Elohim avec des pratiques païennes.

     

    Enfin, en 2 Corinthiens 6:14 à 7:1, Paul nous enseigne le principe général suivant, à savoir que les chrétiens ne doivent pas entretenir de relations ambiguës avec des incroyants. De telles relations le plus souvent compromettent les standards chrétiens ou mettent en péril la validité d’un témoignage chrétien efficace (verset 14). La raison pour laquelle Paul nous rappelle ce principe élémentaire tient au fait que les incroyants ne partagent pas les valeurs chrétiennes, pas plus qu’ils ne souscrivent aux objectifs qui sont ceux des croyants.

     

    La vie chrétienne exige que le chrétien se sépare des standards du monde (verset 17) pour entretenir une relation familiale avec Dieu (verset 18) par la sanctification du corps et de l’esprit dans un profond respect de Dieu.

     

    Paul met l’emphase sur l’incompatibilité qu’il y a entre la vie chrétienne et les pratiques païennes. Il anticipe la réponse négative qui doit être faite à la question suivante : « Qu’ont en commun ces contraires ? » :

     

                La droiture et la lumière – la méchanceté et les ténèbres.

     

                Mashiah et les croyants fidèles – Bélial (le Diable) et les incroyants

     

                Le temple de Dieu – les idoles

     

    Ces oppositions sont les principales raisons pour lesquels les chrétiens ne doivent faire aucun compromis (syncrétisme) dans la relation qu’ils entretiennent aux non-croyants (verset 14). Collectivement, les chrétiens représentent le temple du Dieu vivant (1 Corinthiens 3 :16-17). Individuellement, un chrétien est habité de l’Esprit Saint de Dieu (Éphésiens 2:22). Dieu a promis d’être un Père pour nous (verset 18), mais Il nous demande de nous écarter de ce qui est impur (1 Corinthiens 3 :17) et de mener une vie saine (chapitre 7 versets 1 et 2).

     

    Bien que la résurrection soit un fait biblique manifestant de toute la Gloire de Dieu, les apôtres et l’église du premier siècle ne la célébraient pas (Zondervan Pictorial Bible Dictionary, p.230). Quand la Résurrection commença à être célébrée, la fête qui y fut associée fut nommée, dans le cas du monde anglo-saxon, du nom d’une déesse du printemps et, dans toutes les traditions du christianisme tel qu’on le connaît, des symboles païens de la fertilité y furent conservés. Tout cela ne correspond bien sûr aucune à une pratique véritable et fidèle de la foi chrétienne.

     

    Ces éléments d’idolâtrie sont toujours bien présents et font entièrement partie des festivités de Pâques telle qu’on peut l’observer de nos jours. Ces éléments d’idolâtrie ont eu une influence corruptrice sur la célébration de la Pâques proprement dite. Ce qui débuta comme étant du syncrétisme est et demeure encore du syncrétisme aujourd’hui. Ainsi, en conclusion, nous voyons que la seule contribution du christianisme aux pratiques païennes de Pâques fut la célébration de la résurrection du Christ.

     

    Christ a ressuscité d’entre les morts, cependant, comme pouvons nous honorer notre Dieu et Son Fils le Seigneur Jésus Christ, ainsi que le symbole glorieux et victorieux de la résurrection, tout en y associant des rites, symboles et coutumes idolâtres.   

     

    Shalom

                     karada

                                      suite...

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